Les domaines de cadres qui recrutent le plus en 2025

L’année 2025 s’annonce comme une période particulière pour le marché de l’emploi des cadres. Malgré un léger ralentissement global des embauches, certains secteurs restent extrêmement dynamiques et continuent de générer de nombreuses opportunités. Cette situation résulte d’évolutions majeures dans l’économie, la technologie et la société, qui créent des besoins nouveaux et spécifiques en compétences. Les entreprises, face à ces transformations, adaptent leurs stratégies de recrutement en privilégiant des profils capables de s’inscrire dans ces changements. C’est donc dans ce contexte que certaines filières se distinguent nettement, en concentrant une grande partie des recrutements de cadres. Pour mieux comprendre les tendances et les perspectives de 2025, il est essentiel de s’intéresser aux domaines où les besoins en compétences restent les plus forts.

1. Informatique et systèmes d’information

Le secteur de l’informatique et des systèmes d’information reste en tête des domaines qui recrutent massivement en 2025. La transformation numérique, déjà amorcée depuis plusieurs années, continue de s’intensifier dans tous les secteurs d’activité, qu’il s’agisse de la banque, de l’assurance, de la santé, de l’industrie ou encore de l’éducation. Cette transformation exige la conception, la maintenance et la sécurisation d’infrastructures numériques toujours plus complexes et performantes.

L’émergence de nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle générative, l’automatisation des processus et les objets connectés contribue également à augmenter la demande en profils spécialisés. Les entreprises recherchent des développeurs capables de maîtriser plusieurs langages de programmation, des experts en cybersécurité pour protéger les données, ainsi que des spécialistes du cloud computing et de la gestion de projets agiles.

Ce secteur est aussi caractérisé par une forte compétition entre employeurs, notamment dans les secteurs bancaire, des start-ups innovantes, les cabinets de conseil et les administrations publiques. Ces acteurs cherchent activement des talents capables de piloter des projets de transformation digitale tout en assurant la sécurité informatique. Ainsi, malgré un contexte économique général plus prudent, l’informatique reste le moteur principal de la demande en recrutement de cadres, avec un volume d’embauches estimé à plus de 55 000 postes pour l’année 2025.

2. Ingénierie, études, recherche et développement, travaux

Le domaine de l’ingénierie et de la recherche appliquée connaît lui aussi une forte dynamique de recrutement, alimentée par des enjeux stratégiques majeurs. La transition énergétique représente un moteur essentiel, poussant les entreprises à innover pour réduire leur impact environnemental et s’adapter aux nouvelles normes. Parallèlement, la modernisation industrielle et les importants investissements dans les infrastructures publiques, comme les transports ou les bâtiments durables, stimulent la demande de profils techniques qualifiés.

Les ingénieurs R&D, les chefs de projets industriels, les spécialistes en énergies renouvelables ainsi que les conducteurs de travaux sont particulièrement recherchés. Ils doivent posséder une maîtrise pointue des logiciels de conception et de modélisation, ainsi qu’une connaissance approfondie des normes environnementales récentes. Les projets liés à la rénovation thermique des bâtiments ou à la mobilité décarbonée illustrent bien cette tendance, tout comme les développements dans le domaine médical, notamment la conception d’équipements de diagnostic ou de prothèses.

Cette période voit aussi une préférence marquée pour les jeunes diplômés formés dans des spécialités liées aux énergies renouvelables et au génie climatique, car ce sont eux qui apportent les compétences les plus adaptées aux besoins actuels. L’ingénierie se positionne ainsi comme un secteur incontournable, où innovation et développement durable convergent pour créer des opportunités durables en emploi.

3. Commerce et marketing

Le secteur du commerce et du marketing reste l’un des piliers majeurs du recrutement en 2025. Les entreprises, confrontées à une concurrence toujours plus féroce et à des marchés de plus en plus volatils, cherchent des profils capables d’allier stratégie commerciale et maîtrise des outils digitaux. Parmi les postes les plus recherchés figurent les responsables marketing digital, chargés d’affaires BtoB, business developers, chefs de produits, technico-commerciaux, ainsi que des spécialistes en CRM et référencement (SEO/SEA).

Ces professionnels ont pour mission principale de conquérir de nouveaux clients, de fidéliser les existants et d’optimiser les canaux de vente, en particulier ceux en ligne qui ne cessent de croître. Le marketing d’influence s’impose désormais comme un levier incontournable, tout comme le recours à la data marketing qui permet de personnaliser les messages et de mieux cibler les campagnes. Les compétences techniques attendues incluent une parfaite maîtrise des plateformes publicitaires comme Google Ads ou Meta Business, ainsi que des outils de gestion commerciale tels que Hubspot.

La connaissance approfondie du tunnel de conversion, l’analyse des données clients et les techniques de growth hacking sont également essentielles pour maximiser les performances commerciales. Par ailleurs, la capacité à travailler sur l’expérience utilisateur (UX/UI) et à maîtriser les techniques de négociation et de closing est très appréciée. Certains secteurs comme l’e-commerce, les fintech, le luxe ou le tourisme valorisent particulièrement les profils qui allient créativité, sens stratégique et appétence pour les données. Enfin, la maîtrise des langues étrangères, en particulier l’anglais, l’espagnol ou l’allemand, constitue un véritable atout dans un contexte d’internationalisation croissante des activités.

4. Finance, comptabilité et contrôle de gestion

Dans un environnement économique qui valorise de plus en plus la rigueur financière et la conformité aux nombreuses réglementations, le domaine de la finance, de la comptabilité et du contrôle de gestion demeure un secteur clé en matière de recrutement. Les entreprises ont besoin d’experts capables de piloter la performance financière, de gérer les risques et d’assurer un reporting précis et conforme aux normes. Les métiers les plus porteurs regroupent notamment les comptables, contrôleurs de gestion, auditeurs internes, responsables comptables, fiscalistes, consolideurs et gestionnaires de paie. La digitalisation et l’automatisation des processus comptables modifient en profondeur ces fonctions, ce qui accroît la demande pour des profils à la fois techniques et stratégiques.

Les compétences attendues incluent une parfaite maîtrise des ERP tels que SAP, Sage ou Oracle, ainsi qu’une connaissance approfondie des normes comptables internationales et françaises (IFRS, French GAAP). La capacité à produire des reportings financiers pertinents, à analyser les marges et à gérer les budgets est essentielle. Le contrôle de gestion évolue vers un rôle de plus en plus stratégique, celui de "business partner", où le professionnel apporte un regard analytique sur la rentabilité des projets et aide à la prise de décision. En outre, les outils de business intelligence comme Power BI ou Tableau sont devenus indispensables pour exploiter les données financières.

Enfin, le secteur des cabinets d’expertise comptable est confronté à une pénurie chronique de jeunes talents, ce qui place l’alternance au cœur des stratégies de recrutement et de formation dans ce domaine.

1. Santé, social et médico-social

Le secteur de la santé, du social et du médico-social reste en 2025 un domaine où les besoins en cadres qualifiés sont particulièrement importants. Plusieurs facteurs expliquent cette forte demande. D’une part, le vieillissement progressif de la population engendre une augmentation significative du nombre de personnes dépendantes ou souffrant de pathologies chroniques, ce qui nécessite un encadrement renforcé dans les établissements tels que les EHPAD ou les hôpitaux. D’autre part, la montée des problématiques liées à la santé mentale, notamment en milieu professionnel, pousse les entreprises à renforcer leurs équipes avec des professionnels spécialisés, comme les psychologues du travail. Par ailleurs, le secteur social, en lien étroit avec le médico-social, doit également faire face à une complexité croissante des situations à gérer, requérant une coordination rigoureuse et des compétences managériales solides.

Les cadres dans ce secteur occupent des postes variés allant des infirmiers coordinateurs aux cadres de santé, en passant par les médecins du travail, les psychologues spécialisés ou encore les directeurs d’établissements. Ces professionnels doivent non seulement maîtriser les protocoles médicaux et les normes réglementaires, mais aussi posséder une capacité certaine à piloter des équipes pluridisciplinaires. La coordination des différents acteurs intervenant auprès des usagers, la gestion de projets spécifiques au domaine médico-social, ainsi que la communication bienveillante sont autant de compétences clés attendues. De plus, la maîtrise des logiciels métiers, tels que les dossiers patients informatisés ou les outils de planification, est indispensable pour assurer une organisation efficace.

Les établissements publics et privés peinent souvent à trouver des managers de terrain capables de conjuguer approche humaine et efficacité organisationnelle, ce qui renforce la pénurie de cadres compétents dans ce secteur. Par ailleurs, les structures d’aide à domicile connaissent également une demande accrue pour des coordinateurs formés aux enjeux managériaux spécifiques à ce domaine. Enfin, les enjeux de responsabilité sociétale des entreprises, notamment en matière de bien-être au travail et de prévention des risques psychosociaux, contribuent à élargir les besoins en recrutement de psychologues et autres professionnels dédiés à la qualité de vie au travail.

Top 10 des métiers cadres les plus demandés

Les besoins en recrutement dans certains métiers cadres restent particulièrement soutenus en 2025, en raison de leur rôle central dans le fonctionnement et la croissance des entreprises. Parmi ces métiers, on retrouve :

• Comptable : un poste incontournable pour assurer la gestion rigoureuse des comptes, la conformité fiscale et la préparation des bilans.

• Développeur informatique : très recherché pour répondre à la transformation digitale, en particulier dans le développement d’applications, la maintenance des systèmes et la cybersécurité.

• Chargé d’affaires : acteur clé dans la gestion de projets complexes, notamment dans les secteurs technique, industriel et commercial.

• Conducteur de travaux : indispensable dans la construction et les infrastructures, il supervise les chantiers et garantit le respect des délais et des normes.

• Commercial / Business developer : responsable du développement du chiffre d’affaires, il conquiert de nouveaux clients et fidélise les partenaires existants.

• Chef de projet informatique : coordonne les équipes techniques, gère les ressources et assure le bon déroulement des projets numériques.

• Contrôleur de gestion : analyse la performance financière des activités, conseille la direction et contribue à la prise de décision stratégique.

• Responsable comptable : supervise les équipes comptables, assure la bonne tenue des comptes et la préparation des audits.

• Dessinateur-projeteur : intervient dans la conception technique et la modélisation 3D, notamment dans l’ingénierie et le bâtiment.

• Expert-comptable : reconnu pour ses compétences en conseil financier, fiscal et comptable, il accompagne les entreprises dans leur développement.

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Ces métiers combinent souvent des compétences techniques pointues avec des qualités managériales et une capacité à évoluer dans des environnements complexes. Leur forte demande reflète leur importance stratégique dans tous les secteurs d’activité.

🔍 Pourquoi ces secteurs recrutent-ils autant en 2025 ?

Une dynamique de transformation globale malgré un contexte incertain

En 2025, le marché de l’emploi cadre connaît un léger recul avec environ 300 000 recrutements prévus, soit une baisse d’environ 4 % par rapport aux années précédentes, selon l’APEC. Ce ralentissement s’explique par un contexte économique tendu, marqué par une inflation toujours présente, un resserrement des budgets dans les entreprises, des incertitudes géopolitiques et un ralentissement général de l’économie européenne. Après plusieurs années de croissance soutenue post-crise sanitaire, les entreprises se montrent plus prudentes et ajustent leurs prévisions d’embauche à la baisse.

Cependant, ce recul global ne doit pas masquer la réalité des besoins qui restent très importants dans certains secteurs clés. Au contraire, dans de nombreux domaines, la pénurie de candidats qualifiés se fait de plus en plus sentir. Selon les recruteurs, un poste cadre sur deux est jugé difficile à pourvoir, notamment pour les fonctions techniques ou spécialisées, ce qui témoigne d’une tension persistante sur le marché.

Plusieurs dynamiques profondes expliquent cette situation et les besoins soutenus en recrutement dans ces secteurs stratégiques.

1. Accélération de la transformation numérique

La transformation digitale est au cœur des mutations économiques actuelles. Tous les secteurs, qu’il s’agisse de la banque, de l’assurance, de la santé, du commerce ou de l’industrie, sont concernés par cette digitalisation croissante. Les entreprises investissent massivement dans leurs systèmes d’information pour automatiser leurs processus, collecter et exploiter des volumes toujours plus importants de données, renforcer la cybersécurité, et développer des services innovants utilisant l’intelligence artificielle, le cloud computing ou encore les objets connectés.

Cette évolution rapide génère une demande très forte en profils qualifiés capables d’accompagner et de piloter ces projets technologiques. Les développeurs, data analysts, chefs de projets IT, ingénieurs cloud et experts en cybersécurité sont ainsi particulièrement recherchés. C’est pourquoi le secteur informatique demeure le premier recruteur de cadres en 2025, tirant la croissance du marché de l’emploi dans son ensemble.

2. Transition énergétique et modernisation industrielle

La transition vers une économie plus durable et la modernisation des infrastructures industrielles constituent un autre moteur important des recrutements. L’industrie 4.0, qui intègre les technologies numériques dans les processus de production, la rénovation thermique des bâtiments pour réduire leur empreinte énergétique, l’électrification des mobilités, ainsi que le développement des énergies renouvelables créent un besoin massif de compétences techniques.

Les ingénieurs, techniciens, chefs de projets et conducteurs de travaux sont particulièrement sollicités pour mener à bien ces transformations. Ces changements impliquent aussi une évolution des compétences attendues, avec un intérêt accru pour la maîtrise des outils de simulation numérique, de l’automatisation, de l’analyse du cycle de vie des produits ou encore de la conception durable. Les profils capables de combiner ces savoir-faire techniques avec une vision stratégique sont donc très demandés dans ce contexte.

3. Évolutions démographiques, sociales et sanitaires

Le vieillissement progressif de la population et la hausse des maladies chroniques imposent une adaptation continue des structures de santé et du médico-social. Ces évolutions démographiques se traduisent par une pression croissante sur les postes de cadres de santé, coordinateurs, psychologues du travail et managers d’établissements, qui jouent un rôle clé dans la gestion des équipes et la qualité des soins.

En parallèle, les enjeux sociaux, notamment liés au bien-être au travail, à l’inclusion et à la prévention des risques psychosociaux, prennent une importance grandissante. Les métiers du social et de l’accompagnement bénéficient ainsi d’une reconnaissance accrue dans les politiques de responsabilité sociale des entreprises, ce qui renforce leur attractivité. Ces facteurs conjugués expliquent la montée en tension dans ces secteurs où les recrutements sont essentiels pour assurer une prise en charge adaptée et efficace.

4. Pressions économiques et recherche de performance

Dans un contexte économique marqué par l’incertitude, la maîtrise des coûts et l’optimisation de la rentabilité deviennent des priorités majeures pour les entreprises. Cela explique la forte demande en profils spécialisés dans la finance, la comptabilité, le contrôle de gestion et la gestion de la paie. Ces fonctions sont essentielles pour garantir la conformité aux réglementations, souvent de plus en plus complexes, qu’elles soient fiscales, sociales ou environnementales. Par ailleurs, le départ à la retraite d’un grand nombre de professionnels expérimentés dans ces domaines accentue encore les besoins en recrutement. Ces postes nécessitent une parfaite maîtrise des normes en vigueur ainsi qu’une capacité à accompagner les entreprises dans leurs choix stratégiques face à des marchés en constante évolution.

5. Compétitivité commerciale et développement international

Enfin, la relance économique post-Covid, le développement rapide du commerce en ligne et la volonté d’ouvrir de nouveaux marchés à l’international stimulent les recrutements dans les fonctions commerciales et marketing. Les entreprises recherchent des business developers, responsables marketing digital, chargés d’affaires et chefs de produit capables de combiner une analyse stratégique pointue avec une excellente maîtrise des outils numériques et un sens aigu du client. Ces profils jouent un rôle déterminant dans la conquête de parts de marché, le lancement de nouveaux produits et la fidélisation des clients, contribuant ainsi directement à la croissance des organisations dans un environnement toujours plus concurrentiel.

Une mutation du marché cadre : vers des profils plus spécialisés et plus opérationnels

Le marché de l’emploi cadre connaît une évolution profonde sous l’effet de transformations structurelles qui impactent à la fois les profils recherchés et les parcours professionnels. D’une part, l’allongement des études est une réalité notable : aujourd’hui, plus de la moitié des jeunes âgés de 25 à 29 ans sont diplômés de l’enseignement supérieur.

Cette hausse du niveau de qualification accroît naturellement la concurrence pour accéder aux postes, notamment dans les secteurs les plus attractifs. D’autre part, un phénomène de surqualification apparente se manifeste. Beaucoup de jeunes diplômés rencontrent des difficultés à trouver un emploi en raison d’un manque d’expérience concrète sur le terrain, ce qui freine leur insertion professionnelle malgré un haut niveau de formation académique.

Par ailleurs, les attentes des recruteurs ont évolué. Les entreprises ne se contentent plus d’exiger un diplôme, même prestigieux. Elles accordent une importance grandissante aux compétences métiers, souvent appelées hard skills, telles que la maîtrise d’outils techniques ou de méthodologies spécifiques.

En parallèle, les qualités humaines ou soft skills, comme l’adaptabilité, la capacité à collaborer efficacement, l’esprit d’analyse critique ou encore la gestion du stress, sont devenues des critères déterminants dans le recrutement. Ces compétences permettent aux candidats de mieux s’intégrer dans des environnements professionnels en constante évolution, où les défis et les exigences sont nombreux.

Conseils pour les candidat·es & apprenants

Choisir un domaine porteur constitue une étape essentielle pour maximiser ses chances d’insertion professionnelle. Les recruteurs privilégient aujourd’hui les profils capables de répondre aux enjeux actuels, qu’il s’agisse de la transition numérique, de la transformation énergétique ou encore de l’adaptation aux nouveaux usages dans la société et l’économie. Se former dans des secteurs stratégiques tels que l’informatique, l’ingénierie, la finance ou la santé permet de s’assurer une employabilité plus rapide et durable, car ces domaines continuent de connaître une forte croissance et ne sont pas affectés par les crises conjoncturelles.

Développer des compétences ciblées est également un facteur clé de succès. Les diplômes seuls ne suffisent plus ; les recruteurs valorisent désormais les savoir-faire pratiques comme la maîtrise des outils digitaux, la gestion de projet, l’analyse de données ou encore les techniques de vente complexes. Par ailleurs, les compétences transversales telles que la communication efficace, la flexibilité face au changement et l’esprit critique jouent souvent un rôle déterminant lors des entretiens d’embauche. Elles permettent de se démarquer en montrant une capacité d’adaptation et une maturité professionnelle appréciées dans tous les secteurs.

Se former via l’alternance apparaît comme une stratégie particulièrement efficace. Ce mode de formation ne se limite pas à l’acquisition de connaissances théoriques, il offre surtout l’opportunité de gagner une expérience concrète en entreprise. L’alternance est un véritable tremplin vers l’emploi, permettant de valider un diplôme tout en développant des compétences opérationnelles immédiatement mobilisables. En plus de fournir un revenu pendant la formation, elle offre la possibilité de tester un métier ou un secteur avant de s’y engager pleinement, réduisant ainsi les risques d’erreur dans l’orientation professionnelle.

Conclusion

Malgré un contexte macro-économique légèrement moins favorable, certains secteurs continuent de recruter intensément. Les domaines techniques, commerciaux, financiers et médico-sociaux demeurent très dynamiques, portés par des tendances fortes telles que la digitalisation, la transition écologique et le renouvellement des générations. Que vous soyez jeune diplômé, en reconversion professionnelle ou simplement à la recherche d’un nouveau sens à votre carrière, choisir une formation professionnalisante dans un secteur porteur est une décision stratégique.

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